terça-feira, 29 de março de 2011

Origami: Poisson



Voulez-vous faire un poisson en origami? Voici les étapes à suivre ... Amusez-vous ...

Poisson d´Avril





Un poisson d’avril est une plaisanterie, voire un canular, que l’on fait le 1er avril à ses connaissances ou à ses amis. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.

Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos de personnes dont on veut se gausser. « Poisson d’avril ! » est aussi l’exclamation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte, ou pour avertir la victime du canular que l’histoire qu’on vient de lui raconter est fausse.
Cette tradition trouverait son origine en France, en 1564. La légende veut que jusqu’alors, l’année aurait commencé au 1er avril (en fait le 25 mars correspondant au style de l'Annonciation avec la tradition de s'échanger des cadeaux, le poisson d'avril commémorant cet usage), mais le roi de France Charles IX décida, par l’Édit de Roussillon, que l’année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Mais en fait, l’année civile n’a jamais débuté un 1er avril

Si l’origine exacte de l’utilisation des poissons reste obscure (peut-être l’ichthus chrétien), la légende veut que plusieurs de ses sujets se rebiffassent à l’idée qu’on leur chamboulât le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril. Pour se payer gentiment leur tête, des congénères profitèrent de l’occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Les cadeaux que l'on s'offrait en avril étaient le plus souvent alimentaires. Cette date étant à la fin du carême, période durant laquelle la consommation de viande est interdite chez les Chrétiens, le poisson était le présent le plus fréquent. Lorsque les blagues se développèrent, l'un des pièges les plus courants était l'offrande de faux poissons. Ainsi naquit le fameux poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement.
 

domingo, 27 de março de 2011

Loeb rallye Portugal WRC 2011

La deuxième étape du Rallye du Portugal 2011

Sport Automobile

Rallye du Portugal
  
Sébastien Ogier,à bord de sa DS 3 de la marque française Citroën, est  vainqueur pour la seconde année consécutive du Rallye du Portugal.  Quant à Sébastien Loeb, français lui aussi, il a fait le meilleur temps et continue le meilleur du WRC.

terça-feira, 22 de março de 2011

Micmacs à tire-larigot - Bande Annonce Officielle

Cinéma

 Film à voir au cinema au Portugal en Mars 2011
Micmacs à tire-larigot est une comédie française réalisée par Jean-Pierre Jeunet.
Le film est sorti dans les salles de cinéma françaises le 28 octobre 2009.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Fin des années 1970. Au cœur du désert marocain, une explosion se produit alors que des soldats français sont en plein travail de déminage. Le téléphone sonne dans un pavillon d'une banlieue française. Bazil, âgé de neuf ans, voit sa mère pleurer au téléphone.
Trente années plus tard, Bazil reçoit une balle dans la tête. Mais il survit bien que le projectile soit toujours logé dans son crâne. Il perd son travail et se retrouve à la rue. Il est alors recueilli par une bande de chiffonniers : Remington, un homme noir qui ne parle qu'avec des expressions désuètes ; Calculette, qui peut tout évaluer et calculer en un clin d'œil ; Fracasse, qui a battu le record de l'homme-canon ; Placard, qui a survécu à la guillotine ; la môme Caoutchouc, une contorsionniste ; Petit Pierre, qui bricole des automates et des mécanismes de toute sorte, et enfin Tambouille, la cuisinière qui a adopté toute cette tribu.
Bazil tombe un jour, par hasard, devant les bureaux de deux compagnies. Il se souvient du logo des deux armes qui ont provoqué tout ce qui lui est arrivé. Avec l'aide de ses amis, Bazil va tenter de faire payer à ces deux grandes entreprises le mal qu'elles lui ont fait.
 article retiré du site wikipédia 

International

 Le parisien
Le « Charles de Gaulle » opérationnel au large de la Libye
Alors que Nicolas Sarkozy visite aujourd’hui la base aérienne de Solenzara, le porte-avions nucléaire est désormais pleinement opérationnel. La France renforce son dispositif.
Au troisième jour de l’opération militaire lancée contre les troupes du colonel Kadhafi en Libye, la France renforce considérablement son dispositif engagé dans cette guerre en doublant pratiquement sa force de frappe. Le porte-avions « Charles de Gaulle », qui a appareillé dimanche de Toulon, est en effet arrivé hier soir « sur le théâtre », comme disent les militaires, c’est-à-dire au large des côtes libyennes.
Ses avions devraient commencer ce matin à participer aux missions de combat (bombardement, interception ou reconnaissance) dans le ciel libyen pour y faire respecter la « zone d’exclusion aérienne » dans la région de Benghazi, dont les Français ont la charge.
A son bord, 8 Rafale marine, 6 Super Etendard modernisés, 2 Hawkeye de reconnaissance et surveillance maritime et 2 hélicoptères Dauphin de secours en mer. Mais aussi, exceptionnellement, 2 autres hélicoptères Caracal et 1 Puma de l’Ovia (organisme à vocation interarmées) de la base de Cazaux, spécialisés dans la recherche et le sauvetage au combat, pour le cas où des avions seraient abattus au-dessus de la Libye. Le groupe aéronaval compte 4 frégates (la frégate anti-sous-marine « Dupleix », la frégate furtive « Aconit », les frégates antiaériennes « Jean Bart » et « Forbin »). Sans doute un sous-marin d’attaque (même si sa présence est rarement confirmée) pour sa protection rapprochée. Ainsi que le pétrolier ravitailleur « la Meuse », qui devrait appareiller aujourd’hui de Toulon. Au total, ce sont plus de 2 600 marins qui ont été mobilisés dans le cadre de l’opération « Harmattan ».
Déjà 55 sorties aériennes
« Une sorte d’exploit », souligne le colonel Thierry Burkard, porte-parole de l’état-major des armées, rappelant que le porte-avions était rentré il y a à peine un mois — le 22 février très exactement — de quatre mois de mission au large de l’Afghanistan. « Le véritable exploit, renchérit le capitaine de vaisseau Hugues d’Argentré, patron du Sirpa Marine, c’est que le porte-avions, qui est traditionnellement en alerte à dix jours, a pu appareiller 60 heures seulement après sa mise en alerte », dans la foulée du vote de la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l’ONU, jeudi dernier, à New York. L’ensemble de l’équipage (soit près de 2 000 hommes) était en effet à bord dès samedi soir.
L’arrivée sur zone du groupe aéronaval constitue donc un renfort important, démultipliant nos moyens militaires dans cette partie de la Méditerranée. Si l’aviation française a, en effet, été la première engagée, dès samedi, au-dessus de la Libye pour s’assurer de la maîtrise du ciel, elle restait cependant assez faible en termes de capacité. En trois jours, les avions français ont effectué 55 sorties (soit 400 heures de vol) et détruit dès samedi quatre blindés libyens. Hier, alors qu’il n’y avait pas eu de frappe dimanche, les avions français patrouillant dans le ciel libyen ont encore détruit un blindé.
Libye : les allers et retours des avions français
 Les opérations aériennes françaises pour faire respecter la zone d'interdiction de vol au-dessus de la Libye ont repris lundi matin, a indiqué le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard. En attendant l'arrivée du porte-avions Charles-de-Gaulle près des côtes libyennes, les appareils partent des bases sur le territoire français, notamment celles de Solenzara en Corse et de Saint-Dizier (Haute-Marne). Ils ont environ trois heures de vol pour arriver sur la zone des opérations.
 retiré du site :
http://www.leparisien.fr/actualites-informations-direct-videos-parisien





Articles d´Ana Campos et Filipa -Sport Français

Natation : Bousquet part "au clash" avec la Fédération

Frédérick Bousquet, champion d'Europe 2010 sur 50 m libre et triple médaillé mondial 2009, envisage de ne plus répondre aux convocations de l'équipe de France si la Fédération française n'autorise pas la présence de son entraîneur américain, Brett Hawke, à ses côtés. "C'est sûr qu'on va aller au clash et je pourrais arrêter d'être en équipe de France", a déclaré à l'AFP, très en colère, Bousquet, quelques minutes avant de s'entraîner à la piscine de Schiltigheim (Bas-Rhin), où débutent mercredi les Championnats de France, qualificatifs pour les Mondiaux-2011 de Shanghaï (24-31 juillet).
Bousquet, qui s'entraîne à Auburn (Etats-Unis) sous la direction de Brett Hawke, s'est vu refuser par le directeur technique (DTN) de la Fédération française, Christian Donzé, sa demande d'être accompagné par son coach sur les compétitions auxquelles participe l'équipe de France.
"Je ne suis pas arrivé à 30 ans pour me faire chier vraiment avec des mecs qui n'en valent pas la peine", a-t-il poursuivi. "Est-ce qu'Alain [Bernard] aurait été champion olympique à Pékin sans Denis [Auguin] à ses côtés pour le récupérer après le relais et le remettre d'aplomb pour le 100 m ? (...) Demandez à Laure [Manaudou] par rapport à Philippe [Lucas] à Athènes [en 2004]. Ce sont d'énormes champions mais ça fait partie des ingrédients d'une réussite. J'aimerais bien les avoir ces ingrédients-là à un moment donné", a-t-il dit. Visiblement exaspéré, le nageur n'a pas exclu de renoncer à sa participation aux championnats du monde.
De son côté, le DTN Christian Donzé s'étonne de la colère de Bousquet : cité par L'Equipe, lundi, il expliquait : "Je privilégie les entraîneurs français. On était convenus avec Fred qu'en équipe de France, c'est Romain [Barnier] qui s'occupait de lui. Je respecte ce que l'on avait dit ensemble".
Article retiré du Journal « Le Monde»

La Fouine - Papa



On vient juste de célébrer la Fête des Péres au Portugal... je leur dédie ce clip...

sexta-feira, 18 de março de 2011

LES VISITEURS

Voici le film que nous allons montrer pendant la semaine des langues dans notre école...
Vous aimez?????

LE MARQUIS

Un extrait du film :

Cinéma

Courez voir ce film vous allez adorer :
L´histoire:
Thomas Gardesse, VRP en système d'alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour 6 mois. Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage. Quinze jours avant sa sortie, un braqueur du nom de Quentin Tasseau le fait évader pour l'emmener à Manille afin qu'il participe à un casse dont le commanditaire a besoin des talents du Marquis…

Education


Enseignants non remplacés : les parents saisissent la Halde


Les enfants d'Epinay-sur-Seine ne reçoivent pas, de la part de l'Education nationale, le même traitement que les autres enfants du territoire français", écrit la FCPE d'Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, principale fédération de parents d'élèves, dans sa lettre qui devrait être remise dans les prochains jours à la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). "Nous avons le sentiment que nos enfants subissent une discrimination de la part de l'Etat", poursuit la FCPE dans un texte publié mardi.
Muriel Rumenieras, mère d'élève, a affirmé à l'AFP que son fils en CM1 n'avait pas eu classe 3 semaines et demie au total depuis la rentrée de septembre, faute de remplaçant de son enseignant. "On le fait travailler à la maison, mais il aura sûrement du retard", déplore-t-elle, avant d'ajouter : "Tous les parents ne peuvent pas aider leurs enfants, certains ne parlent pas bien français, par exemple".

Selon la FCPE, 84 % des absences courtes des enseignants du premier degré n'ont pas été remplacées depuis septembre 2010, à Epinay. Les parents d'élèves ont reçu le soutien de plusieurs élus, dont le président PS du conseil général Claude Bartolone, le député PS Bruno Le Roux, le maire d'Epinay Hervé Chevreau (divers droite).

retiré du site : www.yahoo.fr


Société

Paris : un bijoutier braqué dans le XVe arrondissement, 150.000 euros de butin


Deux hommes casqués et armés ont braqué une  bijouterie du XVe arrondissement de Paris mardi en début d'après-midi,  repartant avec un butin estimé à 150.000 euros, a-t-on appris de source proche  de l'enquête, confirmant une information du Parisien. L'un des braqueurs a utilisé un fusil à pompe pour menacer le personnel de  la bijouterie, située rue de la Convention. Aucun coup de feu n'a été tiré  durant le braquage, a précisé la source proche de l'enquête. Dans leur fuite, les malfaiteurs ont légèrement blessé un passant au pied en le bousculant. Ils ont ensuite quitté les lieux en scooter. Le 3e district de police judiciaire de Paris est chargé de l'enquête.
 
Article retiré du site www.yahoo.fr